Résumé
Papers, Please a été développé par Lucas Pope à partir de novembre 2012 en utilisant le langage de programmation Haxe et le framework NME, tous deux open-source. En tant qu'Américain vivant au Japon, Pope a été confronté à l'immigration lors de ses voyages internationaux et a pensé que cette expérience, qu'il décrit comme "tendue", pourrait être transformée en un jeu amusant. Avant la sortie du jeu, Pope avait mis en place un formulaire de soumission de noms pour le public, où les gens pouvaient soumettre leurs propres noms qui seraient attribués de manière aléatoire aux personnages du jeu. Papers, Please a été soumis à Steam Greenlight le 11 avril 2013 et a obtenu le feu vert le 1er mai.
Scénario
Le gameplay de Papers, Please se concentre sur la vie professionnelle d'un inspecteur de l'immigration à un poste de contrôle frontalier pour le pays fictif du bloc de l'Est d'Arstotzka. Le joueur inspecte les documents des candidats à l'immigration et utilise un ensemble d'outils pour déterminer si les papiers sont en règle afin d'empêcher les espions, les contrebandiers et autres individus indésirables d'entrer dans le pays. À la fin de chaque journée de jeu, le joueur gagne de l'argent en fonction du nombre d'immigrants qu'il a traités, moins les pénalités pour les erreurs commises, et doit ensuite décider d'un budget simple pour dépenser cet argent en loyer, nourriture, chauffage et autres nécessités dans des logements de basse catégorie pour lui-même et sa famille. Alors que les relations entre Arstotzka et les pays voisins se détériorent en raison de multiples attaques terroristes, chaque jour introduit une nouvelle série de règles d'immigration basées sur l'histoire du jeu, telles que le refus des citoyens de certains pays ou l'exigence d'une identification plus rigoureuse des citoyens. Le joueur peut être confronté à des dilemmes moraux et à l'ingénierie sociale au fur et à mesure de la progression du jeu, comme le fait de laisser passer l'épouse supposée d'un immigrant, bien qu'elle n'ait pas de papiers complets, alors qu'elle projette d'attaquer vos collègues gardes.
Une mystérieuse organisation anti-gouvernementale fait également son apparition. Plusieurs de ses membres apparaissent au point de contrôle et donnent à l'inspecteur des ordres sur ce qu'il doit faire pour aider l'organisation à faire tomber le gouvernement et à en établir un nouveau ; le joueur peut choisir d'aider ou non cette organisation.
Le jeu dispose d'un mode histoire scénarisé avec plusieurs fins possibles en fonction des actions précédentes du joueur, ainsi que d'un mode de jeu sans fin aléatoire et déverrouillable.
Papers, Please a fait l'objet d'éloges pour le sentiment d'immersion procuré par les mécanismes du jeu et l'intensité de la réaction émotionnelle[12]. Jonathan Ore, de CBC News, a qualifié Papers, Please de "jeu de détective nerveux au rythme implacable et aux douzaines de personnages fascinants, tous issus d'un travail de bureau".
Papers, Please Instructions d'activation
Papers, Please Critiques et évaluations
Maybe one of the first games that made indie games rise. And still one of the best. A border guard trying to do his job in a corrupt and mixedMaybe one of the first games that made indie games rise. And still one of the best. A border guard trying to do his job in a corrupt and mixed land. Those who cannot play lose a lot.
Working in military security myself, and having years of ID checking experience, I couldn't imagine anyone could make a "game" of it. It'sWorking in military security myself, and having years of ID checking experience, I couldn't imagine anyone could make a "game" of it. It's boring, tedious, thankless work.Somehow they pulled it off. What I find mind-numbing at work, I find pleasantly challenging within the game. In fact, I may even believe that the game has made me better at my job, by reminding me how easily those little details can slip by unnoticed.If you want to test your attention to detail and get immersed into Cold War era Asia, give the game a look.
Never imagined that playing (working) as an immigration officer could be so fun, but "Papers, Please" is an incredibly catchy game. It'sNever imagined that playing (working) as an immigration officer could be so fun, but "Papers, Please" is an incredibly catchy game. It's dark, it's funny, it's original. Intense experience. Glory to Arstotzka! 8/10
A damn fine experience. This game is something genuinely unique and while I would have loved for get even more it was still more than I seeA damn fine experience. This game is something genuinely unique and while I would have loved for get even more it was still more than I see from most any other game out there. Specifics are hard to get into but it is an interesting of blending precision with tedium. Word of warning, this is a puzzle game more than you would realize but it is one that somehow managed to make that is boring seems fun! Crazy? You bet! And yet it's true. If you're hesitant, check out Youtube or wait for a Steam sale. This is definitely something to consider when you have the time.
It's a tribute to the Cold War. An addictive game that's full of sarcasm and social commentary. A game that you should definitely try.
| Date de Sortie | 8 août 2013 |
| Éditeur | 3909, Lucas Pope |
| Contenu Classé | M (Mature) |
| Modes de Jeu | Un seul joueur |
| Perspectives des joueurs | Première personne, Texte |
| Genres | Indie, Simulateur, Casse-tête, Pointer-cliquer |
| Thèmes | Thriller |
| Plateformes | Linux, PC (Microsoft Windows), Mac, Android, iOS, PlayStation Vita |
